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Nos visiteurs ont du talent

Dans l'œil de Julien Dupouy

Souvenir, souvenir...

C'est une véritable immersion dans l'univers photographique de Félix Arnaudin que nous propose Julien Dupouy, visiteur de l'écomusée et photographe.

C'est toujours un plaisir de découvrir les souvenirs réalisés au cours de vos visites à l'écomusée. Aujourd'hui, on s'arrête sur le travail effectué par Julien Dupouy qui nous propose une vision actuelle à traves un procédé d'antan. Le procédé n'est pas n'importe lequel, mais le même que celui qu'utilisait Félix Arnaudin.

Julien nous a confié qu'il utilisait un appareil photo datant de l'époque 1870-1885 et avait réalisé le même procédé par émulsion au gélatino-bromure d'argent.

On vous laisse découvrir le rendu dans son format intégral :

La meunière - 2024 - ©Julien Dupouy
la meunière - 2024 - ©Julien Dupouy
Maison du métayer - 2024 - ©Julien Dupouy
Maison du métayer - 2024 - ©Julien Dupouy

Découvrez l'univers de Julien DUPOUY :


L'info en +

Félix Arnaudin

Simon Arnaudin, dit Félix Arnaudin, 1844-1921 - Labouheyre, est un dialectologue, ethnographe, poète et photographe français spécialiste de la Haute-Lande.

C'est le premier à documenter l'ethnographie de la Haute-Lande en autochtone. On peut dire de lui qu'il est à la fois linguiste, folkloriste, historien, ethnologue, musicologue, dessinateur, photographe et écrivain. Il s'illustre ainsi dans l'étude des traditions populaires de ce pays des Landes de Gascogne, alors en pleine mutation économique et sociale. Son travail porte sur le recueil de proverbes, contes et chants en gascon, sur la photographie de paysages, habitats, bergers et paysans landais. Il consacre ainsi sa vie à sauver cet héritage de l'oubli.

Procédé photographique

« Qu’est ce qu’un négatif au gélatinobromure d’argent ?
Un négatif sur verre au gélatinobromure d’argent est constitué d’une plaque de verre recouverte d’une couche de gélatine renfermant le dépôt d’argent qui constitue l’image. Ses tonalités s’étendent du gris-neutre au noir. Ces plaques étaient livrées dans des formats qui ont été normalisés au cours du Congrès photographique international de Bruxelles en 1891. Le terme générique gélatinobromure d’argent fait référence aux constituants du support sensible car la couche une fois développée et fixée ne contient plus de bromure. »

Extrait de l’ouvrage (re)Connaître et conserver les photographies anciennes, de Bertrand Lavédrine, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques – 2007

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